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Dernière mise à jour le
Frontières terrestres
Les passages frontaliers avec l’Azerbaïdjan et la Turquie sont fermés.
Iran
Pour traverser la frontière terrestre entre l’Arménie et l’Iran, il est obligatoire de passer par le point de contrôle frontalier Agarak-Norduz. Sa localisation est indiquée sur le site du service frontalier arménien (en anglais). Le passage frontalier permet la traversée à pied, en voiture et en autobus.
En raison de la situation actuelle, il est formellement déconseillé de se rendre en Iran : consultez l’avis de voyage correspondant. Si vous souhaitez quitter l’Iran via la frontière terrestre avec l’Arménie, il est avisé de vérifier que le passage frontalier d’Agarak est ouvert avant de vous y rendre. Contactez le service frontalier (site en arménien) ou l’ambassade d’Arménie à Téhéran. L’évolution de la situation peut engendrer une saturation du passage frontalier et allonger considérablement la durée du voyage : avant de s’y rendre, il faut donc prévoir le nécessaire (eau et nourriture, carburant, médicaments, etc.). Un ressortissant belge n’a pas besoin de visa pour se rendre en Arménie (voir rubrique Informations pratiques).
La ville arménienne la plus proche du point frontalier d’Agarak est Meghri (à 10km par route).
Géorgie
Pour traverser la frontière terrestre entre l’Arménie et la Géorgie, il est obligatoire de passer par les points de contrôle officiels. Il en existe quatre : leur localisation est indiquée sur le site du service frontalier arménien (en anglais). Vérifiez que le poste-frontière est ouvert avant de vous rendre à la frontière.
Il existe plusieurs routes qui relient l’Arménie à la Géorgie : plusieurs tronçons de la route H58 (autrefois M16) se rapprochent fortement de la frontière azérie (voir aussi rubrique Sécurité). Il est recommandé aux voyageurs d’emprunter une route alternative pour rejoindre la Géorgie, ou de voyager entre les deux pays par voie aérienne ou ferroviaire.
En cas de voyage vers la Géorgie, consultez l’avis de voyage correspondant.
Déplacements en voiture en Arménie
Les accidents de la circulation restent une cause très importante de mortalité en Arménie.
L’Arménie étant un pays montagneux, les axes routiers sont souvent sinueux et la conduite peut être difficile et fatigante. Il convient de maintenir une vigilance constante au volant.
De nombreuses routes, surtout les axes secondaires, présentent un état dégradé et la présence de piétons ou d’animaux sur les routes peut constituer un danger supplémentaire. Il est recommandé d’éviter de conduire la nuit, notamment en dehors des villes, et de ne pas quitter les axes routiers principaux.
Il est possible de conduire soi-même en Arménie, à condition d’avoir les assurances requises et les documents du véhicule en règle. Le permis belge (délivré après 1968) et le permis international sont reconnus.
Déplacements aériens
La liste des compagnies aériennes arméniennes interdites de survol dans l’Union Européenne est disponible sur le site de la Commission Européenne.
Déplacements en transports publics en Arménie
Les transports publics en Arménie, y compris les autobus, sont vétustes et l'infrastructure n'est pas toujours bien entretenue. Lors des trajets en train et surtout de nuit, il est conseillé de faire preuve de vigilance. Le voyage en train d'Erevan à Tbilissi est possible (le trajet d'environ 350 kilomètres prend une douzaine d'heures).
Comme partout ailleurs, il est indiqué de faire ses bagages soi-même, de les surveiller pendant tous ses déplacements et de refuser la prise en charge de colis remis par des inconnus.