Voyager au Kazakhstan : Conseils aux voyageurs

Par la route

Les frontières avec les pays voisins sont parfois fermées, notamment celles avec l'Ouzbékistan. Avant le départ, vérifiez auprès de l’Ambassade du Kazakhstan à Bruxelles si les frontières sont ouvertes.

La circulation automobile est dense dans les grandes villes. Les voyageurs doivent adopter une conduite prudente et tenir compte du comportement de la population locale.

L'essence Octane 98 est parfois difficile, voire impossible à trouver. Les stations essence sont parfois éloignées les unes des autres. Vous pouvez utiliser votre permis de conduire belge jusqu'à 60 jours après votre arrivée au Kazakhstan. Au-delà de 60 jours, vous devez avoir un permis de conduire international en plus de votre permis de conduire belge.

Notez que les conditions météorologiques, surtout en hiver, peuvent rendre inaccessibles certaines routes et zones du pays.

Il est plus prudent de s’adresser à une compagnie officielle de taxis que de héler un taxi dans la rue. Des agressions par de faux chauffeurs de taxi ont été signalées. Assurez-vous que le compteur est allumé ou qu’un prix a été convenu. L’application YandexGo, l’équivalent local d’Uber, est largement utilisée.

Par avion

Dans le contexte de la crise ukrainienne, les connexions aériennes vers/depuis l’Europe ont été déroutées et le temps de voyage allongé.

Certaines compagnies aériennes actives au Kazakhstan sont reprises sur la liste noire des compagnies aériennes de l'UE.

Cyclotourisme

En dehors des grandes villes, il n'y a presque pas de pistes cyclables, d'éclairage et de panneaux de signalisation adaptés. Il est plutôt dangereux de faire du vélo en raison de la densité du trafic, en particulier sur les routes entre les grandes villes et dans les villes elles-mêmes.