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Sécurité/info routière
L'infrastructure routière est rudimentaire mais s’améliore graduellement. Pendant la saison des pluies, les longs trajets sont difficiles. La plupart du temps, les taxis et autres transports en commun ne sont pas assurés. Il est recommandé d’utiliser un véhicule 4x4, de préférence avec chauffeur.
Il existe plusieurs possibilités pour relier l’aéroport international Lungi au centre de Freetown que sépare le large estuaire du fleuve Sierra Leone: une liaison coûteuse, aléatoire et dangereuse en hélicoptère, ou une liaison (risquée par mauvais temps) en hors-bord ou hovercraft ou enfin en taxi, ce qui peut prendre de 4 à 5 h. Il est donc conseillé de se fier uniquement aux bateaux affrétés par la compagnie aérienne qui vous aura amené en Sierra Leone. Les contrôles de documents d'identité et papiers du véhicule par les forces de l'ordre sont rares mais approfondis. En cas d’accident de la route, il est fortement conseillé de s’adresser immédiatement au commissariat de police le plus proche.
Sécurité/ Info aérienne
Brussels Airlines vole sur Freetown au départ de Bruxelles. Quelques sociétés régionales assurent les vols de et vers des destinations ouest-africaines. Avant de les utiliser, il faut s’assurer qu’elles ne figurent pas dans la liste noire de la Commission européenne des compagnies interdites d'exploitation dans l'UE.
Sécurité/ Info ferroviaire et bus
Le réseau ferroviaire est inexistant en Sierra Leone. Les transports en commun sont presque inexistants. Pour des raisons de sécurité évidentes, le voyageur doit être vigilant s'il prend un taxi ou un poda-poda (minibus). Ces minibus sont presque toujours surchargés et, en général, les véhicules sont en très mauvais état et ne disposent pas d'assurance.