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Le travail décent, dont la protection sociale est le 3e pilier, est un des thèmes prioritaires de la loi de 2013 et est inscrit dans l’Objectif de Développement Durable 8. En termes d’acteurs, la thématique est principalement portée par notre partenariat avec :
- l’Organisation Internationale du Travail (OIT), qui bénéficie d’une contribution obligatoire (3.000.000 €/an) et volontaire (4.000.000 €/an) d’une part au budget régulier (Regular Budget Supplementary Account) et d’autre part au « Flagship Programme Social Protection Floors for All »
- les organisations de la société civile (OSC) actives au sein d’un cadre stratégique commun (CSC) Travail décent (101,12 M € pour 2022-2026),
- l’agence belge de coopération, Enabel, dans le cadre d’un tout nouveau programme thématique Protection sociale/Travail décent qui vise l’Ouganda, le Rwanda et la RDC (50 M € pour 2022-2026).
La protection sociale est 1 des 4 piliers de l’Agenda du Travail Décent défini par l’Organisation Internationale du Travail.
La protection sociale contribue également aux Objectifs de développement durable (ODD), notamment à l’éradication la pauvreté (ODD1) dont une des cibles est de "mettre en œuvre des systèmes et des mesures de protection sociale appropriés au niveau national pour tous, y compris les socles, et, d'ici 2030, à assurer une couverture substantielle des pauvres et des personnes vulnérables" (cible 1.3).
La Coopération belge au développement défend une approche globale et universelle de la protection sociale. L’approche, les orientations et les normes de l’OIT constituent les références pour définir la conception, la mise en place et l’approfondissement des systèmes de protection sociale nationaux des pays en développement.
La crise de la COVID-19 a ravivé la conscience politique de l'importance d’atteindre une protection sociale universelle.
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