Voyager au Koweït : Conseils aux voyageurs

Sécurité / info routière

L'état des routes est généralement bon (des routes secondaires sont parfois mal entretenues et en mauvais état), mais la signalisation n'est pas très bonne. La plupart des panneaux sont marqués en anglais et arabe, mais sont souvent mal placés. Des grands et longs travaux de construction de routes provoquent souvent de très grands embouteillages. La manière de conduire de la population locale est dangereuse et les accidents de circulation, souvent mortels, sont quotidiens.

En absence de piste cyclable, il est particulièrement déconseillé de se déplacer à bicyclette.

Sécurité / info aérienne

Le transport aérien ne pose aucun problème particulier. L'aéroport international de Koweït est vétuste mais assez bien organisé. Un nouvel aéroport devrait ouvrir fin 2026. La compagnie nationale Kuwait Airways dispose d'une flotte d'avions modernes pour longs et moyens courriers (avec des destinations comme Londres, Paris, Francfort, etc.). Il n’y a par contre pas de vols directs entre Bruxelles et le Koweït. La compagnie privée locale Jazeera Airways (low cost) complète l'offre locale vers les destinations du Golfe et du sous-continent indien et ouvre maintenant des vols sur l’Europe.

Les principales compagnies aériennes européennes ont arrêté leurs vols sur le Koweït. Il y a encore des vols via Istanbul avec Turkish Airways. Etihad, Emirates ou Qatar Airways et Ethiopian Airways sont d’autres options.

Vous trouverez des informations sur les vols sur le site web de l’aéroport international du Koweït.

Sécurité / info navigation

Il n’y a pas de liaisons maritimes régulières pour passagers, hormis le ferry se rendant sur l'île de Failaka (45 minutes de navigation). Le point d'embarquement et de réservation des billets se situe au Marina Crescent (Arabian Gulf Street, Salmiya). Vous pouvez consulter les horaires sur place.

Sécurité / info transport public

Le réseau de transport public, par bus essentiellement, n'est pas très bien organisé et est assez lent. Il y a un nombre limité de lignes de bus. Les horaires de passage et les arrêts de bus ne sont pas clairement indiqués et parfois imprévisibles. Nous conseillons de privilégier le déplacement en taxis, qui sont nombreux et à un prix raisonnable. Il est conseillé de convenir du prix avec le chauffeur avant d’entamer le trajet. La plupart des chauffeurs  « refusent » d’utiliser l’indicateur officiel.  Uber n’est pas actif au Koweït, mais l’alternative locale, Careem, est correcte et fiable.