Un aperçu de la Coopération belge au développement
La coopération au développement s’étend bien au-delà du forage de puits et de la construction d’écoles. Mais la majeure partie de notre travail demeure peu visible. Pour la Belgique, œuvrer pour la coopération au développement signifie travailler à un monde durable sans pauvreté, dans lequel chaque individu a des chances équitables et ce dans une perspective plus large de paix et de sécurité. La Coopération belge au Développement a en effet comme objectif général le développement humain durable. Pour atteindre cet objectif, elle entreprend des actions qui soutiennent les initiatives locales dans une perspective de croissance économique durable et inclusive, d’amélioration des conditions de vie de la population dans les pays partenaires et d’éradication de la pauvreté, de l'exclusion et des inégalités.
Notre coopération s'inscrit dans le cadre des objectifs de développement des Nations Unies, qui ont approuvé l’Agenda 2030 pour le Développement durable. Il s’agit d’un programme global universel de développement durable au Nord et au Sud, où, à côté des autorités publiques, la société civile, les acteurs institutionnels et le secteur privé ont un rôle important à jouer.
La coopération belge intervient également en Belgique pour promouvoir la citoyenneté mondiale. En effet, de nombreux défis mondiaux trouvent également leur source dans les pays riches. Pensons par exemple au changement climatique, aux inégalités mondiales ou aux modèles de consommation. Conformément à l’Agenda 2030 pour le développement durable, tous les pays doivent revoir leur politiques et leurs modèles pour plus de prospérité pour toutes et tous, ici et ailleurs, aujourd’hui et demain. Ce qui se passe dans le monde a énormément d’impact sur nos vies et vice-versa. Il est important que les citoyens belges puissent comprendre ces interdépendances, pour décoder ce qui se passe autour d’eux et d’elles et pouvoir, individuellement et collectivement, poser des choix et agir de façon éclairée, respectueuse et durable. Pour ce faire, notre pays dégage des moyens importants et travaille avec une multitude de partenaires.
Le nombre de catastrophes naturelles et de crises complexes dû à des conflits, ainsi que leur impact, a fortement augmenté ces dernières années. Les pouvoirs locaux, et même souvent nationaux, n’ont pas toujours les capacités nécessaires pour faire face à ces désastres. Ces crises ne provoquent pas seulement des dégâts considérables au moment où elles se produisent, elles détériorent également le tissu socioéconomique et rendent les victimes des régions dévastées dépendantes de l’aide extérieure à long terme. En conséquence et en parallèle à son travail dans le domaine de la coopération au développement, la Belgique intervient dans le domaine de l’aide humanitaire. Si ces deux domaines sont proches, il n’en reste pas moins qu’il existe des différences majeures entre eux.
L’aide humanitaire a effet pour objectif d’apporter en urgence une réponse fondée sur les besoins dans le but de protéger des vies, de prévenir et d’atténuer la souffrance humaine ainsi que de préserver la dignité humaine, chaque fois que le besoin s’en fait sentir, si les gouvernements et les acteurs locaux sont débordés ou impuissants, ou s’ils ne sont pas disposés à agir.
Sa mise en œuvre se fait sur base de principes qui vont guider toutes actions :
- l’humanité: toute personne doit être traitée humainement en toute circonstance;
- l’impartialité: l’aide humanitaire est accordée sans discrimination et uniquement sur la base des besoins;
- la neutralité: l’action entreprise ne peut privilégier quelque partie que ce soit;
- l’indépendance: les objectifs de l’aide humanitaire sont autonomes par rapport aux objectifs militaires, politiques, économiques, religieux ou à tout autre objectif non humanitaire.
Le respect de ces principes assure que toute personne dans le besoin puisse être aidée, mais il permet également de protéger les acteurs humanitaires qui ne peuvent travailler pour un camp au détriment d’un autre.
Enfin, et pour clôturer cette brève introduction, il est important de souligner que l’aide humanitaire est en constante évolution. L’ampleur, la nature et les réponses apportées aux crises ont profondément modifié le paysage humanitaire. Le concept d’aide d’urgence impliquant une réponse immédiate en cas de catastrophe (souvent décrié) a évolué vers un concept d’aide, puis d’assistance humanitaire impliquant une approche principielle plus large (incluant notamment toute la phase de préparation aux catastrophes) et des outils plus diversifiés. Des réflexions continuent sur le système humanitaire– auxquelles la Belgique participe - sont menées régulièrement afin de d’améliorer son efficacité et sa pertinence.

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Pourquoi le faisons-nous ?
Pourquoi ne laissons-nous pas les populations plus pauvres à leur sort ?
Parce que nous portons une responsabilité dans ces situations de pauvreté de par notre passé colonial, qui a impacté de manière durable tant nos sociétés que les sociétés colonisées. Il a créé des séquelles et des rapports de force géopolitiques encore présents aujourd’hui, notamment sur le plan économique.
Parce que nous vivons sur la même planète et que nos comportements et politiques (consommation, agriculture, énergie, commerce...) s’appuient sur des ressources provenant des 4 coins du globe et impactent la vie d’autres personnes et êtres vivants, même à l’autre bout de la planète. A cela s’ajoute le fait qu’aujourd’hui, les enjeux mondiaux se sont encore complexifiés. Le changement climatique ou les pandémies n’ont pas de frontières. Les guerres, la pauvreté extrême, les crises climatiques poussent des hommes, des femmes et des enfants à chercher refuge là où les risques sont moindres et les opportunités plus présentes. Des réponses globales doivent être mises en place, tant au Nord qu’au Sud, afin que chaque être humain puisse aspirer à une vie et à des perspectives futures dignes
Parce que nous faisons tous partie de la même communauté, celle des humains. L’aide humanitaire est un impératif moral et l’expression fondamentale de la valeur universelle qu’est la solidarité entre les peuples. Les personnes impactées par des conflits armés, des catastrophes naturelles, des crises sanitaires, ne peuvent souvent pas y échapper. Porter assistance, protéger la vie ou la dignité de ces personnes est un témoignage de notre solidarité et de notre humanité. C’est pourquoi il est crucial que l’aide internationale soit apportée sans arrière-pensée.
Parce que les pouvoirs publics doivent donner l’exemple. En Belgique, la politique de développement est coordonnée par la Direction-générale Coopération au développement et Aide humanitaire (DGD) du gouvernent fédéral. La DGD gère environ 56% du budget belge dédié au développement, soit en 2021 un montant d’à peu près 1,7 milliard d’euros en 2021, dont 186 millions d’aide humanitaire. L’aide publique au développement de la Belgique (le budget DGD qui comprend le budget de la coopération au développement et de l‘aide humanitaire + les autres formes d’aide publique) se chiffrait en 2021 à un montant global de 2,6 milliards de dollars américains, ce qui représente 0,46% du revenu national brut. La Belgique n’a donc pas encore atteint l’objectif de 0,7 du revenu national brut à consacrer à l’aide publique au développement, comme prévu par la loi du 19 mars 2013.
Avec cet argent :
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Des organisations belges (l’agence gouvernementale Enabel ainsi que des organisations de la société civile et les acteurs institutionnels) et multilatérales soutiennent leurs partenaires locaux, tant dans le domaine de la coopération au développement que dans celui de l’aide humanitaire.
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La Belgique contribue à trouver en collaboration avec les Nations Unies (ONU), l’Union européenne (UE), d’autres pays, la Banque Mondiale et le Fonds Monétaire international (FMI), des solutions globales aux défis mondiaux liés au développement durable et aux problématiques humanitaires ;
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La coopération belge soutient également des projets scientifiques, des banques de développement, des bourses d’étude, etc.

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Cofinancement, allègement de la dette, microcrédit, coopération gouvernementale, coopération multilatérale, aide humanitaire…
Notre travail est décrit par de très nombreux termes professionnels techniques. Derrière ces termes se trouvent différents types d’interventions concrètes qui vont permettre de travailler, par exemple, sur des actions telles que l’assainissement de l’eau potable ou la diminution de la mortalité de jeunes mères. Dans tous les cas de figure, il est primordial que nos programmes de coopération soient définis et modelés en fonction des besoins, priorités et politiques des populations locales, qu’elles soient représentées par des gouvernements, des organisations de la société civile, des autorités locales, etc.
Par ailleurs, la coopération au développement ne peut à elle seule réduire les inégalités et améliorer le respect des droits humains dans le monde. La diplomatie, le commerce, l’agriculture, la migration, l’environnement ou la sécurité sont autant de domaines qui ont un grand impact sur le développement. Il est central pour la coopération belge de veiller à une plus grande cohérence des différentes politiques belges, afin qu’elles contribuent également aux objectifs du développement durable.
En cas de catastrophes naturelles, de conflits armés ou de crises sanitaires, c’est l’aide humanitaire qui est activée. Elle a pour vocation de répondre directement aux besoins des populations affectées par ces crises lorsque les gouvernements ne peuvent ou ne veulent pas intervenir. Elle peut par exemple consister en une distribution de nourriture et d’eau potable, la fourniture de tentes, une aide juridique pour les personnes fuyant leur pays, l’accès à des soins de santé et des médicaments, la distribution d’une assistance en transferts monétaires pour pallier aux besoins les plus urgents, etc…
Comment rendons-nous l’aide efficace ?
La coopération au développement et l’aide humanitaire ont beaucoup évolué au cours de décennies de pratique et ont tiré des leçons importantes de leur mise en œuvre sur le terrain.
L’aide au développement peut être efficace quand elle se base sur les dynamiques et les plans de développement des acteurs et pays concernés. Elle doit se focaliser sur les résultats, c’est à dire sur ses effets pour les ayants-droits, reposer sur des partenariats durables et être transparente.
Sur le plan humanitaire et au niveau national, notre pays a décidé de développer un certain nombre de moyens spécifiques d’appui permettant une approche différenciée et adaptée lors de périodes critiques afin d’assurer un financement rapide et flexible, une meilleure prévisibilité et un partage des responsabilités (burden sharing) au sein du système global de l’aide humanitaire. Tout comme pour le développement, elle se focalise sur les résultats, repose sur des partenariats solides et différents systèmes ont été conçus pour assurer sa transparence. Enfin, pour améliorer son efficacité, la synergie, la complémentarité et la coordination entre les bailleurs de fonds, notamment au sein de l’Union européenne, sont pris en compte dans les décisions de financement.
Au niveau international, les contextes de crise humanitaire ont beaucoup évolué. Le nombre de catastrophes et de conflits ainsi que leur impact ont fortement augmenté. En raison du changement climatique, de la crise alimentaire mondiale, de la croissance démographique, de l’urbanisation et d’autres phénomènes socioéconomiques, une part grandissante de la population mondiale est de plus en plus susceptible d’être confrontée à une situation d’urgence. Les pandémies, les incertitudes économiques et les conflits exercent une pression supplémentaire sur les groupes de population les plus vulnérables. De plus, les crises régionales requièrent une capacité plus grande d’intervention et davantage de coordination entre les acteurs humanitaires et de développement, les donateurs mais aussi entre les différents pays de la région concernée. Outre l’augmentation de la fréquence et de la portée des crises humanitaires, le contexte opérationnel de l’apport de l’aide humanitaire devient sans cesse plus complexe. Les problèmes liés à l’accès aux populations vulnérables, au respect du Droit international humanitaire et à la protection du personnel humanitaire (« l’espace humanitaire ») sont de vastes sujets de discussion et de réflexion. Ces évolutions ont conduit la communauté internationale à remettre en question l’efficacité du système humanitaire actuel. Une approche plus stratégique s’impose pour relever les nouveaux défis posés par la transformation de l’aide humanitaire mais aussi un échange des expériences pour renforcer son impact. Le Secrétaire général des Nations Unies a, à cet effet, convié tous les acteurs impliqués dans la réponse humanitaire à discuter des évolutions rencontrées et des (nouvelles) réponses qui devront être apportées dans le futur.

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Notre organisation
Nous sommes la Direction générale de la coopération au développement et de l'aide humanitaire (DGD), connue du public sous le terme générique de "Coopération belge au développement".
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Politique de développement et politique humanitaire
L’objectif prioritaire de la Coopération belge au Développement est le développement humain durable.
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Notes stratégiques
L’objectif d’une note stratégique est de définir et de justifier une vision et des priorités communes autour d’un thème, d’un secteur ou d’une approche de la coopération ou de l’aide humanitaire belge. Elle est élaborée par la DGD qui élabore les politiques humanitaires et de développement au niveau fédéral.
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Canaux de financement
L’Aide Publique au Développement gérée par la DGD est distribuée suivant les priorités politiques et stratégiques au travers de différents canaux de coopération déterminés par la Loi de 2013 et par des cadres juridiques spécifiques
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Transparence de l’Aide
Avec la signature de l’Initiative internationale pour la Transparence de l’Aide (IITA) en 2012 et l’accord sur le nouveau « Common Open Standard » au Forum de haut niveau sur l’Efficacité de l’aide, à Busan, en 2011, la Belgique s’est engagée sans équivoque en faveur d’une aide transparente.
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Rapports annuels
Téléchargez le rapport annuel de la Coopération belge au développement
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Pays
Un aperçu des 14 pays partenaires de la coopération gouvernementale et des autres pays en développement qui bénéficient de l'aide belge. La coopération belge est de préférence active dans des secteurs où une expertise a été construite et où des résultats utiles ont été obtenus.
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Bénin
Le Bénin est situé à proximité immédiate du Sahel. La coopération belge au développement au Bénin est mise en œuvre par différents canaux. Un aperçu de la coopération gouvernementale, de la coopération non gouvernementale et de la coopération multilatérale.
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Burkina Faso
Le Burkina Faso est situé dans la partie sud de la zone sahélienne et n'a pas d'accès à la mer. La coopération belge au développement au Burkina Faso est mise en œuvre par différents canaux. Un aperçu de la coopération gouvernementale, de la coopération non gouvernementale, de la coopération multilatérale et de l'aide humanitaire au Burkina Faso.
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Burundi
Le Burundi est un petit pays enclavé d'Afrique de l'Est, d’une superficie comparable à celle de la Belgique. C'est l'un des pays les plus pauvres du monde. La coopération belge au développement au Burundi est mise en œuvre par différents canaux. Un aperçu de la coopération gouvernementale, de la coopération non gouvernementale, de la coopération multilatérale et de l'aide humanitaire au Burundi.
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République démocratique du Congo
La République démocratique du Congo est le plus grand pays d'Afrique subsaharienne et le principal pays partenaire de la coopération au développement belge. La coopération au développement belge en RDC est mise en œuvre via différents canaux. Un aperçu de la coopération gouvernementale, de la coopération non gouvernementale, de la coopération multilatérale et de l'aide humanitaire en RDC.
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Guinée
La Guinée est un pays partenaire de la coopération gouvernementale belge depuis 2015. La coopération belge au développement en Guinée s'effectue par différents canaux. Un aperçu de la coopération gouvernementale, de la coopération non gouvernementale et de la coopération multilatérale en Guinée.
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Mali
La Coopération belge au développement est présente au Mali depuis déjà une trentaine d'années. Le Mali est aux prises avec une instabilité politique et sécuritaire depuis près de dix ans. La coopération belge au développement au Mali s'effectue par différents canaux. Un aperçu de la coopération gouvernementale, de la coopération non gouvernementale, de la coopération multilatérale et de l'aide humanitaire au Mali.
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Maroc
Le Maroc a un produit intérieur brut relativement fort par rapport à la moyenne africaine. La coopération belge au développement au Maroc est mise en œuvre par différents canaux. Un aperçu de la coopération gouvernementale, de la coopération non gouvernementale et de la coopération multilatérale au Maroc.
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Mozambique
Le Mozambique possède des ressources naturelles riches et étendues. La coopération belge au développement au Mozambique est mise en œuvre par différents canaux. Un aperçu de la coopération gouvernementale, de la coopération non gouvernementale, de la coopération multilatérale au Mozambique.
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Niger
La situation géographique du Niger en fait un carrefour d'échanges entre l'Afrique du Nord et l'Afrique subsaharienne. La coopération belge au développement au Niger est mise en œuvre par différents canaux. Un aperçu de la coopération gouvernementale, de la coopération non gouvernementale, de la coopération multilatérale et de l'aide humanitaire au Niger.
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Ouganda
L'Ouganda est situé dans la région des Grands Lacs africains et abrite une source du Nil. La coopération belge au développement en Ouganda est mise en œuvre par différents canaux ; par la coopération gouvernementale, non gouvernementale, multilatérale et l'aide humanitaire. Voici un aperçu :
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Territoire palestinien occupé
La Palestine, est constituée de la Cisjordanie (y compris Jérusalem-Est) et de la Bande de Gaza. Un aperçu de la coopération gouvernementale, de la coopération non gouvernementale, de la coopération multilatérale et de l'aide humanitaire en Palestine.
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Rwanda
Le Rwanda est une région enclavée et densément peuplée, avec des terres vallonnées et fertiles. La coopération belge au développement au Rwanda est mise en œuvre par différents canaux. Un aperçu de la coopération gouvernementale, de la coopération non gouvernementale, de la coopération multilatérale et de l'aide humanitaire au Rwanda.
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Sénégal
Le Sénégal est à l'origine un pays d'accueil pour des populations d'origines diverses. La coopération belge au développement au Sénégal passe par différents canaux. Un aperçu de la coopération gouvernementale, de la coopération non gouvernementale, de la coopération multilatérale au Sénégal.
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Tanzanie
En 2020, la Banque mondiale a déclaré que l'économie tanzanienne était passée du statut de pays à faible revenu à celui de pays à revenu moyen inférieur. La coopération belge au développement en Tanzanie est mise en œuvre par différents canaux. Un aperçu de la coopération gouvernementale, de la coopération non gouvernementale, de la coopération multilatérale en Tanzanie.
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Agenda international du développement
Depuis 2015, le Programme 2030, qui regroupe 17 Objectifs de développement durable, constitue le cadre général grâce auquel la communauté internationale entend relever les grands défis mondiaux tels que la pauvreté, le changement climatique ou l'accroissement des inégalités.
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Agriculture et sécurité alimentaire
L'agriculture et la sécurité alimentaire constituent des secteurs clés de la coopération belge au développement. Chaque année, la Coopération belge au développement consacre un budget moyen de 150 à 170 millions d'euros à l'agriculture et à la sécurité alimentaire.
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Éducation
L’Education est un droit fondamental pour les enfants et les jeunes. C’est aussi le meilleur moyen d’acquérir des connaissances indispensables à une amélioration du niveau de vie et à un accès à un emploi décent.
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Santé
La santé est un secteur prioritaire de la Coopération belge au développement. Près de quinze pourcents de l’aide publique belge au développement sont consacrés au secteur de la santé.
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Secteur privé
La coopération au développement avec le secteur privé comprend à la fois une dimension de soutien au développement du secteur privé local, et un enjeu de mobilisation du secteur privé à des fins de développement, pour accroitre les moyens pour le développement durable et veiller aux respects de normes environnementales et sociales.
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Digital for Development - D4D
Digital for Development - D4D : considéré comme un important levier de développement et la coopération belge joue un rôle de pionnier aux niveaux européen et mondial.
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Migration et développement
La migration et le développement sont intrinsèquement liés. Ces deux concepts s'influencent mutuellement, tant positivement que négativement.
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Droits humains
La coopération au développement s’inscrit dans une approche basée sur les droits. L'intégration d'une approche des droits humains à travers les actions des différents acteurs du développement est une priorité dans le Programme de développement 2030 et les ODD.
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Genre
La dimension du genre vise la responsabilisation des femmes et des filles et l’égalité de genre dans la société.
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Travail décent et protection sociale
Le travail décent, dont la protection sociale est le troisième pilier, est un des thèmes prioritaires de la loi de 2013 et est inscrit dans l’Objectif de Développement Durable 8.
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Environnement
L'environnement constitue l'un des cinq piliers sur lesquels reposent l'Agenda 2030 et ses objectifs de développement durable (ODD) et joue également un rôle de plus en plus central au sein des Nations Unies.
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Citoyenneté mondiale
La citoyenneté mondiale est un objectif repris dans l’Objectif de Développement Durable 4 sur l’éducation
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Les partenariats de la Coopération belge au développement
Un aperçu des partenariats de la Coopération belge au développement. Un résumé des acteurs gouvernementaux, des acteurs non gouvernementaux et des organisations multilatérales.
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Possibilités de financement (subsides)
Un aperçu des possibilités de financement et des subventions financées par la Coopération belge au développement. La Coopération belge au développement finance des stages et des bourses d'études, l'éducation au développement et les ONG par différents canaux.
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Aide humanitaire
L’aide humanitaire est un impératif moral et l’expression de la valeur universelle qu’est la solidarité entre les peuples. Elle a dès lors pour objectifs de sauver les vies, d’alléger les souffrances et de préserver la dignité humaine des populations touchées par les crises et catastrophes, ainsi que de prévenir pareilles situations.
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Résultats de la coopération belge au développement
La direction générale Coopération au développement et Aide humanitaire (DGD) suit les résultats du développement à différents niveaux. Dans les pays partenaires bilatéraux, la coopération belge souscrit aux cadres de résultats des pays partenaires.
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Service de l’Évaluation spéciale
Le Service de l’Évaluation spéciale, en tant que service indépendant, contribue à une coopération au développement plus efficace, efficiente et transparente.